Prononcer « Titicara »
Nous partons pour deux jours sur les íles du Titi caca. Sur le ponton , nous croisons nos amis Lea et Gregor.
Traversee d’une etendue de roseaux, pour arriver sur les íles Uros.
Ici tout est en totoros : le sol, les maisons, les bateaux…
Suivent trois heures de bateau pour rejoindre l’íle de Amantani ou nous allons passer la nuit dans une famille.
La vue de notre chambre et c’est d’un calme… aucun bruit !
Vue sur les sommets boliviens.
Pose pres du Pachatata.
et coucher de soleil depuis le Pachamama.
Soiree dans la famille. Lecture d’un livre en francais a Sebastian.
Soiree a la « discotheque »… en costume s’il vous plait ! Je ne vais pas faire beaucoup de danses. N’oubliez pas de remunerer les musiciens !!
Notre hote Sofia dans son interieur. Un accueil simple et sympathique. Notre « segunda mama » a l’age de nos enfants 😉
Visite de l’ile de Taquile. Plus touristique, les enfants reclament de photos contre un sol. Nous sommes moins enthousiastes par cette approche et par l’environnement.
Comme sur l’autre ile, de nombreuses cultures en terrasse qui attendent la saison des pluies a partir de novembre. Chacun dispose de parcelles et tout le monde s’entraide.
Ici ce sont les hommes qui tricotent et les femmes qui tissent.
Une plante est utilise comme shampoing et detergent. Il faut ecraser les feuilles longuement jusqu’a obtenir une pàte qui est melangee a de l’eau.
Petit clin d’oeil !
Sur l’ile de Taquile, les hommes celibataires ou maries se reperent a leur bonnet et leur ceinture. Il suffit de s’interroger une fois pour se demander en mariage lors des fetes…
la femme repondra simplement en presentant un pompon. L’un signifiant oui et l’autre non. Les couples qui s’acceptent se resteront fideles, il n’y a pas de divorce possible. La femme pendant les « fiancailles » va preparer une ceinture traditionnelle rouge pour son futur et terminera celle-ci en tissant ses cheveux qu’elle aura coupes.
Sur le retour, des joncs sont coupes et mis en gerbe pour les iles Uros